Soin des malades_témoignage des saints

Sainte Elisabeth de Hongrie (17 novembre) Élisabeth de Hongrie (1207-1231) fit construire au bas du château un hôpital pour les démunis. Elle voulut servir elle-même les pauvres, les nourrir et les soigner de sa main sans se lasser.  «Elle faisait les lits des plus affreux et des plus malades et en portait certains sur ses

Extrait de lecture 25: Élisabeth de Courrèges, Être là (éd. Mame)

L’auteur, ergothérapeute nous offre le fruit de son expérience professionnelle au sein d’une Ehpad parisienne. Une expérience forgée en temps de confinement. Ce livre contient en effet une « magnifique galeries de portraits, de souvenirs de rencontres ». Mais surtout un verset biblique vient éclairer d’une manière lumineuse nombre de ces chapitres. « Pudeur et

Extraits de lecture 24: Marie de Hennezel, L’adieu interdit (éd. Plon)

L’auteure _bien connue pour ses travaux sur l’accompagnement des personnes en fin de vie_ revient sur la crise sanitaire que nous venons de traverser, non pour polémiquer mais pour en tirer un enseignement, pour grandir en humanité. Tri des malades, mise en bière précipitée…le personnel soignant a dû accepter de régresser dans ses pratiques mais

Extraits de lecture 23: Joël Pralong, Pourquoi avons-nous si peur de la mort? (éd. Artège)

Ce livre nous offre une riche et belle réflexion sur l’espérance chrétienne concernant la mort ainsi que l’expérience d’un prêtre dans l’accompagnement des personnes en deuil. _p.115-117: « L’Église catholique  possède aujourd’hui tout un rituel riche, malheureusement souvent négligé. Il est important que le malade puisse quitter ce monde «dans le Christ», car «celui qui s’en

biblio: deuil d’un enfant

_Caron Marie-Dauphine, Là où meurt l’espoir, brille l’espérance, éd. Sacré Coeur, 2016, 303p. voir «Anne-Gabrielle Caron: une nouvelle «intercesseur»(1)» et «Anne-Gabrielle Caron: une nouvelle «intercesseur»(2)» _Carton de Wiart Marie-Camille, Vivre sans l’autre, Pour aider à vivre le deuil, éd. Saint-Léger, 2020, 225p. L’auteure a perdu un petit frère alors qu’il avait 10 ans. Cela influencera

Extraits de lecture 22: Isabelle Verney, Ma main dans la tienne (éd. Téqui)

Isabelle et François ont deux petits garçons, Mayeul et Maxence. Isabelle attend une petite Maëlis mais celle-ci s’étouffe avec le cordon ombilical in utero à terme. Sans complaisance ni fausse pudeur cette maman profondément meurtrie décrit les étapes de son deuil avec une telle franchise. C’est en s’avouant à elle-même ses colères qu’elle a entamé

Anne-Gabrielle Caron: une nouvelle « intercesseuse »(1)

La biographie de la courte vie d’Anne-Gabrielle Caron écrite par sa mère m’a émue et édifiée. Elle m’a fait découvrir une petite fille qui _même au coeur de sa maladie_ débordait d’affection pour son entourage. Cette affection débordante se lisait dans ses dessins, ses petits mots, ses poèmes et multiples bricolages. Un grand modèle de

Anne-Gabrielle Caron: une nouvlle « intercesseuse »(2)

Vie de communion d’Anne-Gabrielle Caron… Ci-dessous, deux épisodes de la vie de communion d’Anne-Gabrielle, deux épisodes racontés par sa mère, Marie-Dauphine. Anne-Gabrielle désirait tant faire sa première communion. Une série de contre-temps l’empêche d’être présente avec les autres communiants lors de la célébration. Elle arrive in extremis _Alexandre, son père, ayant roulé sur les chapeaux

Qu’est-ce que la vie éternelle?

Qu’est-ce que la vie éternelle? «Qu’est-ce que le Ciel? Il convient tout de suite de préciser un point essentiel: le «Ciel» n’est pas un lieu géographique mais un état. Cet état, c’est ce que l’Évangile appelle la «Vie  en plénitude»  (Jn 10,10, par exemple). Or cette Vie est celle-là même de la Personne du Christ:

Extraits de lecture 21: Anne-Dauphine Julliand, Consolation (éd. Les Arènes)

Anne-Dauphine Julliand a perdu deux filles, Thaïs et Azylis d’une leucodystrophie métachromatique. A travers plusieurs scènes vécues _notamment avec ses fils, Gaspard et Arthur_ et son époux, Loïc_, l’auteure nous offre une belle méditation sur le besoin vital d’être consolé. Accepter d’être consolé, c’est reconnaître qu’on est fait pour aimer et être aimé. Il m’est